Amnésie et complication

Avec un large sourire, Ally retira son tee-shirt et le jeta au sol avant de faire de même avec son soutien-gorge, puis elle déboutonna rapidement le pantalon de sa femme et descendit son pantalon et son sous-vêtement. Tout ce que tu veux ma princesse.

Sa main glissa enfin sur son écrin, lentement dans des gestes doux avant d'en pousser la porte avec ses doigts. Oh ma puce... Elle était si prête... si délicieusement prête...

Elle ferma les yeux et se laissa aller face aux vagues de plaisir qui déjà la saisissait. Elle était tellement prête. Son corps était comme en manque.

Se mordillant la lèvre, elle finit par céder à son désir et descendit le long de ce corps absolument magnifique pour poser ses lèvres sur son intimité. Elle avait tellement envie d'elle. Pas seulement de lui faire l'amour mais de goûter à son désir, à sa peau, à ses lèvres.

ET, peut-être trop rapidement, mais elle était tellement sensible, tellement en attente, elle jouit immédiatement dès qu'elle sentit les lèvres de la brune aspirer son clitoris.

Elle poussa un long gémissement, avant de se laisser retomber, pantelante.

Bébé... Elle embrassa ses cuisses, son ventre, ses seins avant de remonter capturer ses lèvres brièvement pour la laisser respirer. Je t'aime... Son regard transmettait tout son amour et prudemment sa main repoussa quelques mèches de ses cheveux en arrière. Je t'aime tellement cariad.

Elle avait joui très rapidement... Comme en manque, son corps n'avait pas résisté. J'avais très envie de toi. Elle dit ça à Ally, comme une excuse.

Moi aussi. Elle referma tendrement ses lèvres sur les siennes, sa main se repaissant de sa peau. Si douce, si chaude sous sa paume. Bébé tu n'imagines pas à quel point je brûlais pour toi.

Elle appréciait les caresses contre sa peau brûlante, ce moment câlin. Moi aussi mon cœur. Elle rit. Et comme ça on a inauguré tes modifications. Elle rit de plus bel. On dirait deux adolescentes qui se cachent de leurs parents !

Elle rit avec elle. Oh mais c'est ce qu'on fait ! Et puis de toute façon, c'est de leur faute. Ils n'avaient qu'à pas arriver si tôt. Et puis... Elle mordilla très délicatement ses lèvres. C'était vraiment très bon...

C’était très bon pour moi aussi. Elle soupira. Pourtant on est adulte et on a notre propre maison !

Elle acquiesça. J'aurai préféré te faire l'amour dans notre lit, dans notre chambre. Elle rit doucement. Je commence à me faire trop vieille et trop grosse pour l'originalité.

Oh ça je parie que non. Et puis très franchement, je ne veux pas qu'ils nous entendent non plus. Et je n'ai pas dis que j'étais trop vielle pour partir en escapade, juste que j'aime bien notre lit. Je suis devenue un chaton ma puce. J'aime bien notre petit confort. Tout en disant cela, elle était redescendue doucement pour frotter le bout de son nez contre la poitrine douce de son amour.

Ma petite vieille... Elle continuait ses caresses. Oh oui faut que tu fasses attention.

Pour toute réponse, elle mordilla gentiment la rondeur de son sein avant de lever des yeux malicieux vers elle. On peut faire l'amour où tu veux, même dans des endroits pas confortables... je dis juste qu'après faudra pas se plaindre d'avoir des courbatures. Elle remonta doucement contre son corps, se frottant à elle pour son plus grand plaisir. Ce qui me fait penser qu'on avait parler du sèche linge une fois, hum ? J'ai de très grands projets pour la buanderie.

Elle éclata de rire. Il me semble bien qu'il a été mentionné dans une conversation...

Bon sang... elle l'aimait tellement. Elle aimait son rire, son sourire, ses beaux yeux bruns. Elle l'embrassa tendrement alors que l'une de ses mains gratouillait doucement sa nuque. Tu es tellement belle.

Tu dis ça parce que tu n'as pas vu les petites rides que je commence à avoir au coin des yeux. Elle se sentait toujours un peu mal à l'aise quand Ally lui disait ça, surtout qu'elle pouvait lire dans les yeux de sa femme qu'elle le pensait réellement.

Non, tu as raison. Je ne les vois pas. Elle posa ses lèvres au coin de ses yeux doucement avant de capturer à nouveau sa bouche. Je crois que je dois être amoureuse alors...

Tu n'es pas aveugle, il ne reste donc que ça. Elle l'embrassa tendrement. Ralala qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi?

Oh oui pauvre, pauvre Alexandra. Quelle tragédie d'avoir une femme totalement dingue de toi. Elle laissa son index jouer doucement sur ses lèvres avant de lui offrir un baiser. Heureusement je peux comprendre. J'ai la même à la maison.

Elle rit. Vous êtes bien décadente, mademoiselle ! Elle posa un bisou sur sa joue. Désolée mais ma femme n'est pas du genre à faire des soirées à trois.