Amnésie et complication

Dès qu'Alex termina de se garer, elle sortit du véhicule avec le gâteau et le reste de leurs achats.

Elle allait prendre le temps de traiter tout ça, pour pouvoir enfin se focaliser sur sa moitié.

Elle avait espéré voler un baiser à sa femme dans la voiture, mais celle-ci était vraiment concentrée sur les tâches à faire. Bon elle l'avait annoncé, mais Alex aurait bien tenté de la soudoyer.

Néanmoins, elle sortit à son tour de la voiture et la suivit dans la maison.

Elle rangea en premier le gâteau de sa femme et ensuite déposa juste les achats sur la table du salon avant de commencer à retirer ses bottes. Non mais elles étaient vraiment jolies mais alors les retirer, c'était tout autre chose.

Alex avait suivi sa femme et elle se débarrassa de son manteau. Tu as besoin d'aide?

Non, je vais y arriver ! D'ailleurs, au moment où elle termina sa phrase l'une des bottes abandonna toute résistance. Ah ! Plus qu'une !

Si c'était bon pour sa femme. Elle retourna dans la cuisine pour remplir une bouteille d'eau, avant de partir vers les toilettes.

Elle retira la deuxième, non sans peine et retira ensuite sa veste. Mais pour le moment, elle allait garder sa tenue. Elle ne savait pas trop si Alex voulait toujours faire sa sieste ou autre chose.

Elle monta à l'étage.

Sa femme, avec sa bouteille d'eau, ne tarda pas à monter dans leur chambre.

Hey. Elle rit doucement. Je te cherchais. Elle attrapa doucement les passants de son jean pour l'attirer lentement à elle. Tu veux ton petit massage ?

Oh oui, elle était très attirée par sa femme. Elle se mordilla la lèvre. Je veux bien, mais avant j'aimerai un baiser de ma magnifique épouse.

Hummm... Elle joua un instant, réfléchissant pour savoir si elle en avait absolument envie ou si elle en avait terriblement envie. Puis elle sourit à la brune et l'attira un peu plus pour venir capturer ses lèvres avec délice. Elles avaient encore un petit goût de thé fruité.

Elle se cambra vers l'avant, comme pour coller tout son corps contre celui de la brune, tandis qu'elle faisait remonter ses mains pour caresser sa nuque.

Sa femme lui faisait ressentir qu'elle était terriblement irrésistible et c'était très loin de lui déplaire.

Même si, clairement, les hormones la chamboulaient. Mais c'était plutôt à son avantage.

Ravie, elle finit par se reculer, la respiration courte et les joues rosies.

Elle lui sourit et passa sagement ses mains sous son haut. Est-ce que tu veux ton massage ma louve ?

Elle lui sourit en retour. Je vais me régaler...

Elle mordilla sa lèvre en y pensant. Moi aussi... Mais tu devrai te mettre plus à l'aise.

Elle rit doucement et se fit un plaisir de retirer délicatement son pull avant de reposer ses mains tendrement sur son ventre.

Elle n'allait même pas tenter de faire croire à son épouse une seconde qu'elle allait avoir un massage "professionnelle". Il allait au contraire être très très personnelle.

Tu es magnifique. Elle fit remonter ses mains le long de ses flancs et finalement les leva jusqu'à la tête de la brune, procédant avec beaucoup de douceurs pour défaire son chignon et détacher ses cheveux bruns. Je crois qu'aujourd'hui, je te préfère les cheveux détacher.

Elle secoua un peu la tête de gauche à droite pour répartir ses cheveux. Les gestes de sa femme étaient doux et très tendres.

Elle secoua doucement la tête et repassa ses index dans les passants du jean de sa compagne pour la rapprocher.

Ses lèvres capturèrent de nouveau les siennes, mordillant doucement avant de chuchoter contre. Ça devrait être illégale d'être aussi attirante.

Elle glissa ses mains sous le haut de la brune et le fit remonter lentement. On serait donc illégales toutes les deux.

Elle sourit et acquiesça simplement en embrassant doucement ses lèvres, juste pour goûter encore un peu à cette douceur.

Elle continua à remonter le haut de sa femme avec clairement l'intention de le retirer... Mais elle avait besoin que sa femme lève ses bras.

Presque à regret, elle relâcha la bouche de la brune et l'aida pour retirer ce haut. Et puis ainsi, elle pouvait commencer à déboutonner, sans empressement, le jean de son amoureuse.